(suite d'hier)
Monsieur m'a ensuite ligotée et mise dans une caisse. J'ai profité de ce moment pour me remettre de la matinée qui avait été plus que difficile.
Le temps passa assez lentement mais finalement Monsieur me libéra.
Pas pour très longtemps car il m'attacha sur une chaise, les jambes bien écartées.
Il me mit alors un écarteur buccal. Puis, une fois que j'avais la bouche grande ouverte, il me mis un tuyau dans la gorge. Un peu inquiète, je regardai où allait ce tuyau.
Il était relié à un bidon par un robinet. Le bidon me paraissait énorme, de plusieurs litres.
Monsieur ouvrit alors le robinet et je sentis tout de suite qqch de chose circuler dans le tuyau. Impossible de savoir ce que c'était.
Je sentais mon estomac qui se remplissait petit à petit. Au bout d'un certain temps, l'estomac plein, Monsieur coupa le robinet, pour me laisser le temps de digérer.
La manoeuvre se reproduisit plusieurs fois jusqu'à ce que mon ventre soit tendu comme jamais.
Monsieur détacha les liens qui me retenait à la chaise et me guida vers une table où je fus à nouveau ligoté, de manière très serrée.
Monsieur entreprit alors de raser ma belle chevelure ainsi que mes sourcils.
J'étais devenu totalement imberbe.
Il me força à ouvrir la bouche pour me la caler avec une pomme.
J'étais un peu anxieux de la suite, surtout lorsqu'il entreprit de tartiner mon corps de beurre.
Monsieur fit alors entrer Mme Inès qui l'aida à me transporter, toujours ligoté et allongé jusqu'à une niche dans un mur de sa cave.
La porte se referma sur moi, toute seule dans le noir.
Rapidement la température commença à s'élever... Ils étaient en train de me cuire...